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Le diabète 

 

Une diététique adaptée est un préalable obligatoire et l'élément centreal du traitement du diabète quelqu'en soit le type. 

Cependant les recommandations nutritionnelles chez une personne diabétique ne diffèrent ni en quantité, ni en qualité de celles désirables pour un sujet non diabétique, de même sexe, de même âge, de poids et d'activité physique comparables, désireux de rester en bonne santé.  

 

Les différences résident davantage dans la régularité des prises glucidiques d'un jour à l'autre et dans leur répartition au cours de la journée, variables selon les traitements administrés et les résultats glucidiques observés. 

 

Mon approche visera à 

- vous assurer un apport nutritionnel équilibré et adapté 

- eviter ou minimiser les fluctuatoins glycémiques extrêmes dans le sens de l'hyper ou de l'hypoglycémie

- participer au contrôle des facteurs de risques vasculaires y compris l'hypertension artérielle 

- aider à réduire l'évolution de certaines complications micorvasculaires, rénales en particulier

 

Ces objectifs doivent être obtenus en respectant les dimensions multiplies de l'alimentation qu'elles soient culturelles, sociales, familiales, reigieuse ... 

Pour cette raison, la prescription doit être personnalisée et négociée en tennt compte des particularités de chaque diabètique. 

 

 

Le diabète gestationnel 

 

Lors de la grossesse, et sous l'effet des changements hormonaux, le fonctionnement du pancréas peut devenir insuffisant. 

Il s'agit du diabète gestationnel. 

 

Ce phénomène disparaît le plus souvent après l'accouchement, mais la mère reste prédisposée au diabète. 

Cependant, le bébé ne sera pas forcément lui-même diabètique. 

Ce risque ne semble pas lié au niveau du sucre dans le sang de la future maman mais à la transmission d'une partie de son capital génétique. 

 

 

Le cholestérol 

 

L'excès de cholestérol n'est pas à proprement parler une maladie, mais plutôt un facteur de risque pour d'autres maladies

du coeur et des vaisseaux. 

 

Cet excès de cholestérol est asymptomatique pendant des années mais il contribue à l'apparition de maladies graves. 

Le risque de développer une maladie cardiovasculaire augmente le "mauvais cholestérol" ou LDL. Le "bon" cholestérol ou HDL quant à lui a un effet protecteur vis à vis de ces pathologies. 

 

Le "mauvais" cholestérol en excès se dépose sur la paroi des artères et forme des plaque (athérome) qui vont petit à petit boucher l'artère et empêcher le sang de circuler normalement c'est l'athérosclérose. 

 

La localisation de ces "bouchons" avec ou sans présence d'autres facteurs de risques aboutit à l'infarctus du myocarde (cas le plus fréquent), à un accident vasculaire cérébral (AVC) ou à une artériopathie (maladies des membres inférieurs en général). 

 

Dans un premier temps, des mesures diététiques sont conseillées afin de maintenir, voire réduire le taux de cholestérol. Si aucun résultat n'est observé après 3 mois, votre médecin vous prescrira dans la majorité des cas, des médicaments. 

 

En effet, le corps humain est capable d'assimiler le cholestérol à partir des aliments que nous ingérons (30%) mais aussi de le fabriquer lui-même. 

 

 

L'obésité 

 

L'obésité est la plus répendue des maladies nutritionnelles. 

 

Il s'agit d'une maladie chronique évolutive. 

 

L'obésité se définit comme étant due à un excès de stckage des triglycérides dans le tissu adipeux. Les triglycérides représentent les réserves d'énergie de l'organisme, stockés dans les adipocytes. 

 

Plusieurs facteurs entrent en jeu, l'obésité touche tous les âges de la vie, elle est caractérisée par un excès de 20% au moins de la masse grasse du sujet. 

 

On est obèse dès lors que l'IMC calculé est égal ou supérieur à 30 (poids/taille2) 

 

Divers autres facteurs favorisent l'obésité : 

- la variété et l'abondance des aliments. Il faut savoir que la prise alimentaire est conditionnée par des stimuli extérieurs (odeurs et goûts par exemple ...)

- les modifications des habitudes alimentaires (peu de fruits, féculents et aliments riches en lipides consommés régulièrement) favorisent la prise de poids

-l'habitat: la lutte contre le froids stimule les dépenses énergétiques

- l'arrêt du tabac, en effet la nicotine favorise la thermogénèse

- la sédentarité

-le stress pouvant entraîner le grignottage par compensation 

- consommation d'alcool

- prise de certains médicaments parmi lesquels les neuroleptiques, les anti dépresseurs, l'insuline, les corticoïdes ...

- ménopause 

- diminution du temps de sommeil 

 

Tous les individus ne sont pas égaux face à la prise de poids et pour les mêmes apports énergétiques de nombreux facteurs interveinnent. 

 

La dénutrition 

 

 

La dénutrition protéino-énergétique résulte d'un déséquilibre entre les apports nutritionnels et les besoins de l'organisme. Ce déséquilibre entraîne des pertes tissulaires, notamment musculaires, qui ont des conséquences fonctionnelles délèteres. 

 

Les causes de la dénutrition sont liées à l'existence d'un ou plusieurs des troubles suivants :

- des carences d'apports, apports nutritionnels en nutriments, micronutriments ou difficultés d'accès à la nourriture, isolement, alimentation déséquilibrée (végétalisme et végétarisme), troubles de la déglutition,  

- l'augmentation des besoins au cours d'une maladie aïgue ou chronique 

- l'augmentation des pertes, malabsorption par résenction digestive, diarrhées, mucoviscidose, 

 

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